Translating Carleigh Baker's "Last Woman"

This article invites the reader on a short – but hopefully informative – journey into the world of literary translation and Galiano Island in Canada through Carleigh Baker's fascinating short story "Last Woman." After a brief introduction of the author, a concise summary of the story and its major themes follows. Additionally, I provide insight into the theory of translating culture-specific words and expressions through the employment of the foreignizing translation method. In the final part of the article, I share examples of my translation of "Last Woman." Using foreignization, I aimed to keep the culture-specific items of the original, English text in the Hungarian, translated text. However, through my examples, I will demonstrate that short stories containing cultural information require flexible and creative solutions rather than the strict application of rules and methods.

Cet article invite le lecteur à un court voyage dans le monde de la traduction littéraire et de l'île de Galiano au Canada à travers la fascinante nouvelle de Carleigh Baker intitulée « Last Woman ». Après avoir présenté l'auteur et la nouvelle étudiée, il s'impose de donner un aperçu de la théorie de la traduction des mots et expressions spécifiques à une culture par l'emploi de la méthode de traduction allogène. Dans la dernière partie de l'article, l'auteur donne des exemples extraits de sa propre traduction de « Last Woman ». En recourant à l'extranéisation, il a cherché à conserver les éléments propres à la culture du texte original dans le texte traduit en hongrois. Cependant, au fur et à mesure, il démontre que les nouvelles contenant des informations culturelles nécessitent des solutions flexibles et créatives plutôt que l'application stricte des règles et méthodes.