The punishment of the Hellespont by Xerxes: perception of religious behaviour of the enemy in conflict situations

Title: The punishment of the Hellespont by Xerxes: perception of religious behaviour of the enemy in conflict situations
Source document: Graeco-Latina Brunensia. 2016, vol. 21, iss. 2, pp. 51-60
Extent
51-60
  • ISSN
    1803-7402 (print)
    2336-4424 (online)
Type: Article
Language
License: Not specified license
 

Notice: These citations are automatically created and might not follow citation rules properly.

Abstract(s)
The Persian king Xerxes, when he attacked Greece in 480 B.C., built a bridge over the Hellespont which was destroyed by a storm. His behaviour was interpreted by Greek observers as an act of hybris, the intolerable pride of a human who could not accept his limits. But the true meaning was quite different: according to ideas which go back to Indo-European prehistory, a hero had to prove his value by overcoming the opposition of water. This was a consequence of the concept of "fire in water", which can be reconstructed from many parallels outside Iran – e.g. Rome, Ireland and even Greece.
References
[1] Allard, J.-P. (1999). De l'or des Scythes à l'or du Rhin. Études indo-européennes, 16, 67–118.

[2] Briquel, D. (1981). Sur un passage d'Hérodote: prise de Babylone et prise de Véies. Bulletin de l'Association Guillaume Budé, 1(3), 293–306. | DOI 10.3406/bude.1981.1122

[3] Briquel, D. (1985). Vieux de la Mer grec et Descendant des Eaux indo-européen. In R. Bloch (Ed.), Recherches sur les religions de l'Antiquité classique, 2, D'Héraklès à Poséidon, mythologie et proto-histoire (Hautes Études du Monde Gréco-Romain, 14; pp. 141–185). Genève–Paris: Droz-Champion.

[4] Briquel, D. (1988). La comparaison indo-européenne dans le domaine grec: l'exemple de Poséidon. In Ch. M. Ternes (Ed.), Actes du colloque international "Éliade – Dumézil", Luxembourg, avril 1988 (pp. 51–64). Luxembourg: Courrier de l'Éducation Nationale.

[5] Briquel, D. (1998). Les Tarquins de Rome et les trois fonctions de l'idéologie indo-européenne: 1) Tarquin l'Ancien et le dieu Vulcain. Revue de l'Histoire des Religions, 215, 369–395. | DOI 10.3406/rhr.1998.1132

[6] Briquel, D. (2006–2007). Le trésor du roi Décébale: à la recherche de représentations religieuses des anciens Daces (à propos de Dion Cassius, 68, 14, 3). In P. Bonnechère, & G. Cursaru (Eds.), Actes de la VIe conférence annuelle de l'European Association of Sciences of Religion, Religious History of Europe and Asia, Bucarest, 20–23 septembre 2006 (Les Études Classiques, 75, 2007; pp. 5–22). Namur: Soc. des Études Classiques.

[7] Briquel, D. (2007). Mythe et révolution. La fabrication d'un récit: la naissance de la république à Rome (Collection Latomus, 308). Bruxelles: Latomus.

[8] Briquel, D., & Desnier, J.-L. (1983). Le passage de l'Hellespont par Xerxès. Bulletin de l'Association Guillaume Budé, 1(1), 22–30. | DOI 10.3406/bude.1983.1169

[9] Dan, A. (2015). Grecs et Perses sur les Détroits: le démon enchaîné et la démesure du Grand Roi. Ancient West and East, 14, 191–235.

[10] Desnier, J.-L. (1995). Le passage du fleuve, essai sur la légitimité du souverain (Annales Littéraires de l'Université de Besançon, 560; Centre de Recherches d'Histoire Ancienne, 143). Besançon–Paris: L'Harmattan.

[11] Desnier, J.-L. (1997). La légitimité du prince, la justice du fleuve: IIIe-XIIe siècles (Collection Histoire Ancienne et Anthropologie, 2). Paris: L'Harmattan.

[12] Desnier, J.-L. (1998). Les débordements du fleuve. Latomus, 57, 513–522.

[13] Dumézil, G. (1971). Mythe et épopée (Vol. II; Bibliothèque des Sciences Humaines). Paris: NRF-Gallimard.

[14] Dumézil, G. (1973). Mythe et épopée (Vol. III; Bibliothèque des Sciences Humaines). Paris: NRF-Gallimard.

[15] Haudry, J. (1994). Le feu des eaux. In Ch. Kircher-Durand (Ed.), Nomina rerum, hommage à Jacqueline Manessy-Guitton (Centre de Recherches Comparatives sur les Langues de la Méditerranée Ancienne, 13; pp. 259–272). Nice: Université de Nice-Sophia-Antipolis.

[16] Herrenschmidt, C., & Lincoln, B. (2004). Healing and Salt Waters: The Bifurcated Cosmos of Mazdean Religion. History of Religions, 43, 269–283. | DOI 10.1086/426736

[17] Hubaux, J. (1958). Rome et Véies. Recherches sur la chronologie légendaire du moyen âge romain (Bibliothèque de la Faculté de Philosophie et Lettres de l'Université de Liège, 145). Paris: Les Belles Lettres.

[18] Kellens, J. (1997–1998). De la naissance des montagnes à la fin des temps: le Yast 19. Annuaire du Collège de France, 737–765.

[19] Lincoln, B. (2007). Religion, Empire and Torture. The Case of Achaemenian Persia, with a Postcript on Abu Ghraib. Chicago–London: The University of Chicago Press.

[20] Lubotsky, A. M. (1998). Avestan xvaranah: the Etymology and Concept. In W. Meid (Ed.), Sprache und Kultur der Indogermanen, Akten der X. Fachtagung der Indogermanischen Gesellschaft Innsbruck, 22.–28. September 1996 (Innsbrucker Beiträge zur Sprachwissenschaft, 93; pp. 479–488). Innsbruck: Institut für Sprachwissenschaft.

[21] Meulder, M. (2000). Le feu et la source à Rome. Latomus, 59, 749–765.

[22] Niebuhr, B. G. (1811–1812). Römische Geschichte (Vol. I–II). Berlin: Realschulbuchhandlung.

[23] Puhvel, J. (1973). Aquam exstinguere. Journal of Indo-European Studies, 1, 379–386.

[24] Scott Littleton, C. (1973). Poseidon as a Reflex of the IE "Source of Waters" God. Journal of Indo-European Studies, 1, 423–440.

[25] Sergent, B. (2004). Celtes et Grecs, 2: Le livre des dieux. Paris: Payot.

[26] Sterckx, C. (1994). Les dieux protéens des Celtes et des Indo-Européens (Société Belge d'Études Celtiques, Mémoires, 4). Brussels: Société Belge d'Études Celtiques.